TRAV-PUTE Anne-Marie : POUR TOUTES RENCONTRES-CUL REELLES !!!

... MA PREMIERE EXPERIENCE PERSONNELLE !

( A Maitresse S. & Maitre M. )

( ... Debut 2011 ... )

( > Serie de 9 articles MODIFIéS en date du 16/06/2013 )DSCF0878

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Lun 7 fév 2011 5 commentaires
Tu est trés belle Angelle est Gérard.
Bonjour,Angelle et Gérard couple sérieux nous somme marié mon époux est candauliste nous somme sur le Vaucluse et souvent sur le Gard .Mon époux souvent organise en pleine nature ou divers sexe_chop des scènes ou je suis livré a de nombreux voyeurs,hommes,travestis, et couples.Pour raison famillial et personnes que l'on connait on monttre pas notre visage.Anngelle dans la vie réel comme beaucoup de femmes mariées et une sainte mitouche.
On utilise aussi webcam-surveille et sur Webcamnik pour mater et nous faire mater on vous embrasse.
Angelle et Gérard sur www.petiteannoncecoquine.fr
Angelle - le 08/02/2012 à 05h43
Travesti depuis plusieurs années et bien avant mon mariage, je suis en contact avec de nombreux amants potentiels.
L’un d’eux (Fouad) m’a donné envie d’assouvir un fantasme récurent : être humiliée… Il était marié, avait 2 enfants, la cinquantaine, poivre et sel, musclé et surtout très bien monté !
Je me décidais donc à le rencontrer, dans un hôtel propre et discret, près de chez moi.
Arrivée sur place vers 15H, je me suis préparée comme il se devait : perruque noire, nuisette en dentelle, bas résille, porte jarretelle et talons noirs de 10cm.
A 16H30 précises, on tapa à la porte. C’était Fouad, mais il n’était pas seul… Il était venu avec un ami (Abdel). Il me demanda si cela ne me gênait pas qu’il se joigne à nous. Bien sur, j’étais déçue qu’il ne soit pas seul et un peu effrayée, mais j’étais tellement excitée que je n’ai pas pu refuser de les recevoir.
Ils m’ont tout de suite complimentée sur mon physique. Leurs mains traînaient un peu partout sur moi. Ils me firent asseoir entre eux deux sur le lit. Pendant que j’en embrassais un, l’autre me caressait les cuisses…et vice versa.
Fouad m’a alors demandé pourquoi j’étais là.
« Pour coucher avec un homme mûr » lui ai-je répondu.
« Tu as envie de te faire baiser, hein ? »
« Ouiiiii, très envie ! »
« Tu veux devenir une petite pute, hein ? Alors, tu vas commencer par me sucer !»

Il déboutonna sa braguette, retira son pantalon, écarta ses cuisses et me fit mettre à genoux entre ses cuisses, devant le lit.
Son énorme zob était déjà bien raide.
En le regardant droit dans les yeux, je commençais à lécher son gland avant d’enfourner son zob dans ma bouche.
Je le suçais lentement en m’appliquant bien sur son gland circoncis. Ma langue s’entourait autour et, doucement, j’aspirais son sexe quasiment en entier. Je le léchais comme une glace qui coule parce qu’elle fond au soleil.
Je me montrais très gourmande et cela m’excitait beaucoup.
A l’aide de sa ceinture, son ami Abdel m’attacha les mains dans le dos. Je ne voulais pas, mais pendant que Fouad enfonçait son sexe en entier dans la bouche pour me faire taire, Abdel finissait de m’attacher les mains.
Abdel, me tenant la tête bien droite en se plaçant derrière moi, et Fouad se leva pour me baiser par la bouche. Au début, doucement puis plus violemment. J’avais du mal à respirer. Je les entendais m’insulter. Pris de haut le cœur, je commençais à saliver énormément, mais Fouad continuait ses vas et vient. Il retira sa queue et me
demanda si je voulais continuer.
« Non, s’il te plait, arrête je vais vomir ! »
Fouad me donna alors une petite gifle en me disant qu’il n’en avait rien à faire et qu’il allait m’éduquer pour être une vraie femelle.
Il voulut renfourner sa queue mais je n’ouvris pas la bouche. Cette fois-ci, il me gifla vraiment en me priant de bien ouvrir ma bouche. Juste avant qu’il n’y remette sa queue, Abdel me gifla à son tour en me demandant de bien sucer son ami.
Fouad me baisa alors par la bouche comme il le voulait. Tant et si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis à vomir un peu. Il sortit sa queue et Abdel y mit la sienne de la même façon.
Je n’en pouvais plus. Mes hauts le cœur étaient incontrôlables. Fouad me leva et me fit m’allonger sur le dos, sur le lit, les mains toujours attachées dans le dos. Il retira mon string et me fit écarter les cuisses. Lorsqu’il vit mon zizi d’homme tendu, ils se mirent tous les deux à cracher dessus à plusieurs reprises.
« Sale petit PD, t’aimerais bien être une fille ? »,
« On va te baiser comme une pute ! »,
« Tu vas voir comme tu vas aimer ! ».
Abdel se mit devant moi, entre mes cuisses et me leva les jambes. Il s’approchait de moi mais n’avait pas mis de préservatif. Je commençais à me débattre pour qu’il en mette un, mais Fouad s’assit sur mon torse et me força à prendre son zob en bouche.
Au même instant, je sentis le sexe d’Abdel se présenter devant mon anus. Il était très excité, son sexe coulait déjà beaucoup. Il le frotta sur mon petit trou, comme pour bien m’humidifier. Puis je le sentis rentrer.
Abdel s’amusait à me mettre sa queue tout au fond, puis à la sortir complètement, en le faisant de plus en plus vite. Fouad lui s’était quasiment couché sur mon visage et me baisait par la bouche. Je vomissait de nouveau mais ne pouvais pas me dégager.
Fouad me gifla de nouveau en m’insultant (en arabe), mais n’arrêta pas pour autant.
Au bout d’une dizaine de minutes, ils me firent mettre à 4 pattes sur le lit. Comme mes mains étaient attachées dans le dos, mes fesses étaient bien tendues en l’air.
Fouad commença à me fesser. Je lui demandais d’arrêter mais il me répondit : « Quand tu commenceras à aimer ça, alors j’arrêterai ! ».
Très vite, je me mis à pleurer car la douleur était, à chaque claque, un peu plus forte.
Fouad commença alors à me toucher avec 2 doigts, puis 3 avant de tenter de me pénétrer avec sa main entière. J’avais très mal, mais à peine je commençais à crier que Abdel m’enfourna sa queue dans la bouche pour me faire taire.
C’était la 1ère fois qu’on me fistait !
Fouad me dit alors : « Désormais, ton cul ne sera plus jamais le même ma salope, maintenant ton petit trou sera à jamais déformé ! C’est comme ça qu’on reconnaît les vraies petites putes comme toi ! »
Très vite, je commençais à aimer ça, d’autant que je sentais la queue de Abdel descendre dans ma gorge en même temps.
Je n’avais jamais pris autant de plaisir.
Très vite, Abdel éjacula dans ma bouche et sur mes lèvres. J’en avais partout. Il frotta son zob sur mes lèvres et me fit tout lécher pendant que Fouad me fistait.
A son tour, Fouad se masturba devant mon visage et m’éjacula en bouche.
Abdel me demanda de le suivre dans la salle de bains. Il me fit entrer dans la douche et me mis à genoux face à lui. Il se mit à m’uriner dessus. Il visa d’abord mon sexe. Son jus doré était chaud et j’aimais le sentir couler sur mon zizi et mes cuisses. Il m’urina ensuite sur le torse puis dans le visage.
« Ouvre ta bouche salope ! »
Comme je ne le faisais pas, il me gifla très fort. J’ouvris la bouche et il commença à uriner dedans. C’était très salé… Je laissais juste ma bouche ouverte et j’essayais de ne pas avaler son jus. Hélas…
Il me laissa dans la douche, les mains attachées, à genoux, dans son urine. Il me demanda de ne pas bouger le temps qu’il fume une clope avec Abdel qui, lui, continuait de m’insulter.
Je me sentais sale, souillée, humiliée mais surtout très comblée.

Fouad me demanda de me doucher et d’enfiler le vêtement qu’il m’avait apporté : un niqab (un hijab)!
Je pensais que c’était juste parce que cela les excitait, mais je n’étais pas au bout de mes surprises.
Une fois douchée, et remaquillée, j’enfilais mon string, mon porte-jarretelles et des bas noirs que j’avais emmenés en secours.
J’enfilai enfin le niqab et mes talons. On ne voyait plus que mes yeux maquillés, et un peu de mes chaussures. Il était à peine 18H30, et en cette journée de printemps, il faisait encore bien jour dehors.
Abdel et Fouad me demandèrent de les suivre à l’extérieur. Bien sur, je commençais par leur dire non, mais Abdel fit mine de vouloir me gifler encore. Ne souhaitant pas être violenté au visage une fois de plus, j’acceptais de sortir de la chambre.
Ils me firent monter dans leur voiture, une 406 peugeot. Fouad se mit au volant et Abdel monta avec moi à l’arrière.
Sitôt démarré, Abdel me demanda de le sucer. Penchée sur lui, je lui démontrai une fois de plus que j’adorais mettre une bite dans ma bouche. La voiture roula environ 25min, et pendant tout ce temps là, je suçais Abdel avec tendresse, vice et passion !
J’adorais sa queue très nervurée et très odorante.
Au bout de 25 min, la voiture s’arrêta devant un immeuble d’une cité tout droit sortie du film « la haine ». Abdel et Fouad me firent rentrer dans le hall de l’immeuble, puis me firent descendre dans le sous sol. On avança dans un couloir mal éclairé et étroit, desservant à gauche comme à droite des caves dont les portes semblaient avoir toutes été forcées. Plus on marchait, plus j’entendais distinctement des voix qui semblaient provenir du fond du couloir.
J’aperçus alors une lumière s’échapper d’une cave. Fouad poussa la porte et Abdel me poussa à l’intérieur. Deux matelas étaient sur le sol, 4 hommes assis dessus : 1 black et 3 arabes.
Ni Fouad ni Abdel ne rentrèrent dans cette cave. Ils fermèrent la porte derrière moi et me dirent que leurs amis allaient me « convertir définitivement à l’Islam » !
Immédiatement, les 4 hommes me parlèrent en arabe et me forcèrent à m’asseoir parmi eux. Très vite, je me suis retrouvée avec un sexe dans la bouche.
Quand je vis le black enfiler un préservatif, j’étais vraiment soulagée car j’avais peur de me faire violer une seconde fois sans aucune protection. Le black me fit m’asseoir sur lui, et un de ses amis se mit debout face à moi pour enfourner son zob dans ma bouche pendant que son pote me sodomisait.
Très vite, je sentis un 2ème sexe essayer de me pénétrer en même temps que le premier.
Sans trop forcer, il finit par rentrer. J’étais étonnée de ne pas souffrir plus que cela, puis je me suis souvenu de ce que Fouad m’avait dit après m’avoir
lailatvx - le 05/12/2013 à 14h20

>>> Merci Laila !... : > J'ADOooore !...

Trav-Truie-Pute-Fiotte 'Anne-Marie' !...

 

jm80sexe
A l'âge de19 ans, j'étais en internat dans un lycée dans une petite ville de province, située assez loin de mon
domicile. De ce fait, j'y restais pour les week-ends et les congés de courte durée. Pendant ces périodes, nous étions
très peu nombreux et c'est le surveillant général qui assurait la garde des étudiants. C'était un homme d'une
cinquantaine d'années, assez trapu, à demi chauve et au visage sévère. Il avait la réputation d'être très autoritaire
avec ses subordonnés et faisait régner l'ordre dans l'établissement.

J'avais remarqué qu'il me saluait et me regardait lorsqu'on se croisait au hasard des couloirs. Je n'avais pas trop fait
attention à cette marque d'intérêt qu'il semblait me porter, cependant j'étais toujours un peu ému quand cela arrivait.

Pendant les vacances de la Toussaint, c'est lui qui assurait la surveillance des dortoirs. Le mien était en fait une
grande chambre de quatre lits, avec une porte non fermée, pour en faciliter la surveillance. J'étais le seul occupant de la chambre.
A l'extinction des lumières, je me couchais. De mon lit, je pouvais voir les allées et venues dans le couloir et je
remarquais que le surveillant passait et repassait souvent, qu'il ralentissait sa marche à proximité de ma chambre et
que parfois il s'arrêtait près de la porte...J'étais quelque peu surpris et fis semblant de dormir.

Soudain, je sentis une légère secousse contre mon lit...j'ouvris les yeux et vis que le surveillant se tenait près de mon lit. Il me regardait fixement. Je le voyais distinctement, grâce à la lumière d'un réverbère situé à l'extérieur du
bâtiment. Il porta sa main sur sa braguette, ouvrit son pantalon et sortit un sexe bien raide et de bonne taille. Il
commença de lents mouvements de va et vient sur sa tige. Parfois, il décalottait son gland lisse et volumineux. Il
passait aussi sa main sous ses volumineux testicules. Il les soulevait pour les exposer, pour bien me les montrer.
J'étais un peu gêné mais très excité par ce spectacle et par cette présence. Je respirais fort. Les mouvements
brusques de la main du surveillant sur son sexe secouaient mon lit. Il savait que je le regardais se branler et que
j'étais attiré par le spectacle qu'il m'offrait.

Il s'approcha encore plus du lit et vint présenter son sexe près de mon visage. Je respirais son odeur forte et
regardais le gros membre surmonté de son gland lisse qui se dirigeait tout droit près de mes lèvres. L'homme prit
fermement ma main et l'appliqua sur son gland...la sensation fut très forte, j'ouvris mes doigts pour saisir ce zob
qui m'était offert. Mon excitation était à son comble...J'étais le jouet d'un homme qui me désirait, qui bandait dur
pour moi.
Finalement, il poussa son gland contre mes lèvres qui s'ouvrirent pour l'accueillir. Ma langue s'affaira tout autour
comme sur une glace qu'on lèche. L'homme se mit à gémir discrètement, puis je me mis à téter son gros gland lisse
tout en branlant son membre délicatement.
Soudain, il sortit son membre de ma bouche, le remit dans son pantalon car il y avait du mouvement dans le
couloir....le surveillant s'éclipsa en me faisant un signe de la main....

J'étais très excité par ce qui venait de m'arriver, la sensation de m'être soumis ainsi à un homme sans chercher à lui
résister. Il est vrai que l'homme était autoritaire et je m'étais laissé vaincre sans même tenter de combattre, de lui
refuser.

Je n'arrivais pas à trouver le sommeil, et un peu plus tard, je vis le surveillant pénétrer de nouveau dans la chambre,
et d'un pas déterminé, s'approcher de mon lit. Il souleva la couverture et saisit mon pyjama qu'il baissa d'un geste
brusque. Il me retourna sur le côté d'un geste. Il commença à me caresser les fesses que j'avais bien rondes, larges
et profondes. Il fit pénétrer sa main entre elles jusqu'à titiller mon anus avec ses doigts. J'adorais cette caresse à la
fois douce et ferme. Je relevais légèrement mes fesses pour lui en faciliter l'accès...il restait silencieux de peur
d'alerter le voisinage...je gémissais doucement, la tête dans l'oreiller...il s'était penché sur mon dos et je sentais son
souffle chaud me balayer la nuque.

Il avait bien écarté mes fesses. Je sentis que, maintenant, il faisait aller et venir son gland chaud tout le long de ma
raie, de bas en haut...le lit était haut, l'approche en était facilitée. J'étais couché sur le côté, en chien de fusil,
l'homme était debout, penché sur mon dos. Par moment, il appuyait fermement son gland contre mon anus, il
forçait, tentait de le pénétrer...il se retira, mouilla son gland et mon anus avec sa salive, copieusement, puis
recommença ses tentatives. Je me laissais faire, j'avais envie qu'il m'ouvre, me pénètre... J'avais assez mal et il forçait en donnant des petits coups de bite. Je sentais que, peu à peu, son gland pénétrait, que cet homme me prenait. Il m'avait saisi les hanches, me serrait fort comme dans une tenaille.

Enfin, son gland passa la porte étroite qu'il avait déjà bien dilatée. Je sentis son sexe bien raide rentrer profondément d'un coup, il coulissait en moi, glissait. Je sentais ses gros testicules frapper mes fesses. Je reculais pour l'avaler encore et encore...

Soudain, je sentis son sexe se raidir encore plus, il le sortit de mon corps et je sentis de puissants et abondants jets
de sperme chaud m'arroser entre les fesses et jusque sur mon dos.
Il remit rapidement de l'ordre dans sa tenue et disparut prestement dans le couloir.

Je restais dans cette position sur le côté, sans bouger, de peur de rompre les sensations que cet homme m'avait
procurées. Je passais mes doigts entre mes fesses toutes poisseuses, gluantes. J'aimais l'odeur forte de sperme qui
régnait maintenant dans la chambre. Je m'endormis dans cette position, découvert.

Dans la nuit, je sentis que quelqu'un me saisissait par les hanches. Je me réveillais en sursaut et vis le surveillant
accompagné par un autre homme, le chef de l'intendance. C'est ce dernier qui me tenait fort par les hanches. Il avait
sorti son sexe et tentait de le glisser entre mes fesses offertes. Je ne cherchait pas à me débattre pour
l'empêcher...je savais que c'était peine perdue, le surveillant était là, me tenant par les épaules...finalement, je me
laissais bien faire, je remontais mes fesses pour l'aider. Je sentis son sexe dur appuyer sur mon anus dilaté et lubrifié
par le surveillant et me pénétrer à son tour. Il glissa bien à fond et il me pistonna pendant plusieurs minutes bien
profondément. Je sentis des soubresauts agiter son membre qui cracha de nombreux et abondants jets de sperme
chaud. L'homme grogna de satisfaction et se retira en m'embrassant dans le cou.

Les deux compères disparurent dans les ténèbres, discrètement.

Depuis cette mémorable nuit, je suis devenu leur salope soumise et docile, leur « vide-couilles ».
lailatvx - le 31/12/2014 à 06h46

>>> WAOwww !!!... : > GENIAL Recit , Ma LailaTvx Cherie !!! ...

> Hyper-Bandant de Perverses Dépravations d' un ... "Gamin" !!!...

>>> C'est BOooonnn , Hein ! , d' etre LA Jeune FIOTTE-Trous a Bites-Vide Couilles SOUMISE a ... De Vieux Gros Porcs EN RUTS !!!...

> Moi , a presque 56 ans , J' ADOooore Jouer a etre 'encore' cette Jeune Fiotte , avec Des Plus Vieux et Plus Gros que Moi !!!... Avec des "Bears" !!!...
> C'est TROP BOooonnn !!! ...

>>> Mille Merci encore pour CE Genial Texte , Ma Grosse "Jeune" Salope Male Cherie !!!...

> Trav-Truie-Pute-Fiotte-Cuvette de chiottes-Incestueuse a Crader / Avillir 'extreme' , en REEL ! ;
>>> " ANNE-MARIE " !!!...

 

jm80sexe
Bonne Année à tous ceux et celles que j’aime
À ceux qui sont là, près ou loin de moi
Qu’on se supporte encore les douze prochains mois
Et si l’on n’est pas plus, qu’on soit au moins les mêmes.

Bonne Année à mon petit monde
A ceux qui le sont encore et ceux qui ont grandi
Qu’on se supporte encore seconde après seconde.

Bonne Année à toute la terre
À ceux que je ne connais pas
Que chacun puisse vivre et marcher à son pas
Libre de s’exprimer et aussi de se taire.

Bonne Année aux uns et aux autres
À ceux qui sont restés, à ceux qui sont partis
Aux jeunes et aux vieux, aux grands et aux petits
Même si leurs soucis sont loin d’être les nôtres.
lailatvx - le 01/01/2015 à 13h49

> "Waow" , Ma Laila , ... !!! ...

>>> MILLE Merci pour ces Bien Jolis Poetiques Voeux , - De la part de Tout Mes Lecteurs ! - , Ma Douce Cherie !!! ...

> De La Mienne , Recois Mes Souhaits , - Les Plus Intenses ! - , d' Une Nouvelle Année La Plus Heureuse Et La Plus ... JOUISSIVE , pour Toi !!! ...

>>> Ta Trav-Truie-Pute-Fiotte ... "Subjuguée" ; " ANNE-MARIE " !...

 

jm80sexe
Ohhhhh oui je serais baissé comme ça le string sur le cul les fesses rougies par ta fessées et tu me prendrais le fion a fond ma Anne Marie TRAV/PUTE
SPIKE - le 22/08/2016 à 14h25